Inscription ouverte pour le club de lecture kOUTOUB de la Fondation Euroarabe avec une nouvelle édition en octobre prochain. Le nouveau cycle débutera virtuellement avec l’écrivain égyptien Ibrahim Abdel Meguid et son œuvre « Personne ne dort à Alexandrie ».

KOUTOUB est un lieu de rencontre pour le plaisir à la lecture, ouvert à tous ceux qui veulent partager leurs idées, réflexions et opinions stimulés par la lecture des œuvres des écrivains et écrivaines de la Méditerranée.

  • Club de lecture en espagnol.

Les réunions de notre club se tiendront virtuellement, et jusqu’à modifications des conditions sanitaires, tous les derniers jeudis de chaque mois à 18 :30h.

INSCRIPTION GRATUITE

Si vous souhaitez vous inscrire au club de lecture de la Fondation Euroarabe, pour la prochaine séance qui se tiendra le 29 octobre, il faut cliquer sur le lien suivant et compléter le formulaire :

https://docs.google.com/forms/d/1t_wfZxcURFqEmqLRQUlp2vgeg-Mj_yt1StqEEUyQATc/edit

 

Voici nos premières séances :

Jeudi 29 octobre, à 18:30h. 

« PERSONNE NE DORT À ALEXANDRIE » par IBRAHIM ABDEL MEGUID (Alexandrie, Égypte, 1946)

Cette œuvre, qui en 1996 a reçu, à la Foire Internationale du Livre au Caire, le prix au meilleur roman, offre une histoire de vies entrelacées avec une représentation de toute la société égyptienne- Musulmans et Coptes, du nord et du sud, hommes et femmes- et apporte plusieurs des références littéraires existantes en occident à propos de la vision de l’Alexandrie (Cavafis, Forster o Durrell) une vision vraiment égyptienne de la même ville. L’œuvre est incluse dans la  liste Muse des 100 meilleurs romans de tous les temps. 

Vous pouvez télécharger sur ce site le guide de lecture de cette première séance de koutoub au mois d'octobre.

Jeudi 26 novembre, à 18.30h.

« LE JOURNAL D’UN CLANDESTIN » par RACHID NINI

Premier témoignage écrit en langue arabe sur l’expérience des immigrants marocains en Espagne. Nini ironise sur les stéréotypes existants sur l’autre dans les deux rives de la méditerranée : d’un côté, ce mythique eldorado qui se dissipe une fois atteint, et de l’autre, ce mélange entre vision paradisiaque et préjudices racistes

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