Les journées internationales « Les traces émotionnelles de nos guerres », auront lieu le 11 et 12 février, à Grenade. Sous la coordination de prestigieux chercheurs européens experts en la matière, ces journées ont pour but de partager des expériences et de créer de nouvelles perspectives à partir du travail de coopération, de la synergie entre différents domaines et du dialogue entre la théorie et l’expérience.

Les journées internationales « Les traces émotionnelles de nos guerres », auront lieu le 11 et 12 février, à Grenade. Organisées par l’Institut de la Paix et des Conflits de l’Université de Grenade, ces journées vont compter sur des témoignages réels, des documents et des recherches, ainsi que des méthodes pour travailler l’émotionnel, dans le domaine des traumatismes personnels dans des zones de guerres ou conflits armés.

Dans le but d’encourager l’échange de connaissances entre les enseignants, le corps de chercheurs, les professionnelles du domaine de la mémoire historique et de la santé, et toute personne intéressé par ce sujet, l’Institut de la Paix et des conflits de l’Université de Grenade et la Fédération Européenne de Psychodrame et des Organisations (FEPTO) parrainent, avec la collaboration de la Fondation Euro-Arabe, la première rencontre  internationale « les traces émotionnelles de nos guerres », en matière des conséquences transgénérationelles et sociales des conflits belliqueux et des expériences traumatiques.

Information supplémentaire sur la Rencontre Internationale peut être trouvée sur le site web suivant : http://journéestracesetguerres.weebly.com

Le programme de ces journées est structuré en, conférences, tables rondes et ateliers et rencontres convivials, sous la coordination de prestigieux chercheurs européens, il prétend partager des expériences tout en créant la possibilité d’engendrer de nouvelles perspectives à partir du travail de coopération,  de la synergie entre différents domaines et du dialogue entre la théorie et l’expérience.

Des chercheurs de différentes parties du monde, qui sont dédiés, à la fois dans la théorie et dans la pratique, au travail direct avec les conséquences personnelles, familiales, émotionnelles, biologiques et historiques de la guerre, vont axé ces journées, qui tiendront compte tant du long conflit armé en Colombie que des séquelles de la guerre atroce de la Yougoslavie; depuis la difficile construction de l’identité du peuple palestinien jusqu’au mandat de silence qui bâillonne toujours le souvenir de la guerre et de l’après-guerre civile espagnol. Il y aura aussi un espace pour la neurobiologie et la justice restauratrice dans les interventions.

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