L a Chaire d’Études sur le Genre de la Fondation Euro-arabe présente le prochain 15 janvier la conférence de Maria Milagros Rivera Garretas au cours de laquelle elle présentera son dernier livre « Sœur Juana Inés de la Cruz. Femmes qui ne sont pas de ce monde » de l’éditorial Sabina.

Présentation- Débat : MERCREDI 15 JANVIER À 18H

« Sœur Juana Inés de la Cruz. Femmes qui ne sont pas de ce monde » par MARIA MILAGROS RIVERA GARRETAS, Professeure Universitaire de l’Université de Barcelone.

La présentation du livre de Maria Milagros Rivera est insérée parmi les activités qui se dérouleront dans la Chaire d’Études sur le Genre  de la Fondation Euro-arabe, spécialement dans le programme : Heure Violette, femmes reliées par le biais de l’écriture, coordonné para Ana Silva.

LE LIVRE

Le parcours de vie de Sœur Juana Inés de la Cruz (1651-1895) et les relations qui l’ont influencée le plus jusqu’à devenir une grande écrivaine de renom. Un livre agréable, érudit et surprenant qui présente une bibliographie qui donne une nouvelle interprétation de sa vie et de son œuvre, partant de textes et documents originaux, et englobant un de ses autoportraits.

Cette bibliographie poétique de Sœur Juana Inés de la Cruz nous offre une nouvelle interprétation, sous l’excellence de son œuvre et des relations qui ont marquées sa vie.  Elle naquit, vécu, étudia, pensa, écrit, mourut et surtout aima et exista librement entre femmes ; premièrement avec sa mère et ses sœurs et à l’école de filles ; après au couvent de jerónimas de Santa Paula, et dans la cour de Virreina de México,  María Luisa Manrique de Lara et Gonzaga, Comtesse de Paredes, à qui elle dédia son œuvre lyrique. Parce qu’elle parlait et écrivait dans sa langue maternelle, Sœur Juana Inés de la Cruz pu faire une théologie audacieuse ; elle fit une politique de femmes ainsi qu’une politique féministe. Il y a des femmes qui ne sont pas de ce monde. Sœur Juana Inés de la Cruz, une des plus grande et plus aimée des auteurs/es du Mexique moderne et contemporain, fameuse à son époque dans tout l’Occident. Son voyage vers la connaissance illumina autre façon de créer, comme elle écrit dans le dernier vers de son poème Primero Sueño « Premièrement je rêve ».

L'AUTORE

Maria-Milagros Rivera Garretas est mère, grand-mère, femme au foyer et professeure d’université à  l’Université de Barcelone et chercheuse du Centre de Recerca Duoda(link is external).

 En plus de Duoda (1982) et de sa revue du même nom (1991), elle a contribué à la fondation de Llibreria Pròleg de Barcelone (1991), la Fondation Entredós de Madrid (2002) et la Bibliothèque Virtuelle de recherche Duoda (2011). 

Son œuvre a été traduite à l’allemand, l’italien et l’anglais. Elle est cotraductrice, avec  Ana Mañeru Méndez, de la poésie complète de Emily Dickinson publiée par Sabina en trois volumes :  Poèmes 1-600. « C’était la faute du Paradis (2012)  », Fue – culpa – del Paraíso (2012), poèmes 601-1200. « Souder un abîme avec de l’air » Soldar un Abismo con Aire – (2013) et des Poèmes 601-1786. « Notre Port un Secret  (2015)» Nuestro Puerto un secreto (2015). Elle a réalisé la traduction de « Une Chambre à soi » de Virgina Woolf (Sabina éditorial, 2018).

Elle a participé aux documentaires : Leonor López de Cordoue, de María Teresa Álvarez (tve2,1998).  Heloïse Perfundet Omnia Luce (Elena del Rivero), de Anna Sanmartí et Marta Vergonyós (Espagne, 2009), La política del desiderio, de Manuela Vigorita et Flaminia Cardini (Italie, 2010) et  Jeanne de Lestonnac Mourir ou Agir, de Pablo Hernán Zubizarreta et Lucila Falcone (Argentine, 2014).

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