« Le plaisir féminin est clitorique » de Maria-Milagros Rivera Garretas.
Présentation en ligne, le mercredi 3 mars à 18 :00h. Salle Virtuelle de la Fondation Euro-arabe.
Inscription gratuite en remplissant le formulaire sur le lien suivant :
https://docs.google.com/forms/d/1Ek0NjIikg_lsZ4VQ2SV2ye6klwZg0-ioRpOaKobfjZE
Événement en langue espagnole.
LE LIVRE
« Le plaisir féminin est clitorique »
Ce livre parle d’histoires, poésies, Déesses Mère sans coït, énigmes, images, pensées et chefs d’œuvre qui disent que le plaisir clitorique. La femme clitorique dément l’existence du plaisir féminin dans le coït parce qu’elle « il n’y a pas de place ni pour la parité ni pour l’égalité dans un orgasme ». Elle s’aime et elle le fait simplement parce qu’elle est femme, non malgré être femme. Elle aime les femmes parce qu’elles le sont et elle le dit. C’est ça le secret de son écriture, l’écriture féminine. Celle-ci esquive la violence herméneutique universitaire.
- Formats livre, physique et numérique : https://bit.ly/libro-placerfemenino
- Vente directe (format physique) : elplacerfemeninoesclitoricogmail.com
L’AUTEURE
Maria-Milagros Rivera Garretas
Agrégée de l’Université de Barcelone et chercheuse du Centre de Recerca Duoda. Outre Duoda (1982) et sa revue du même nom (1991), elle a contribué à la fondation de la Llibreria Pròleg de Barcelona(link is external) (1991), la Fondation Entredós (link is external) de Madrid (2002) et la Bibliotèque Virtuelle de recherche Duoda(link is external) (2011).
Son ouvrage a été traduit à l’allemand, l’italien et l’anglais.
Sur ce LIEN vous pouvez voir l’entretien qu’a réalisée la Fondation Euro-arabe à Maria Milagros Rivera Garretas, à l’occasion de la présentation de son livre en janvier 2020 « Sor Juana Inés de la Cruz. Mujeres que no son de este mundo »
Antonietta Potente
Écrivaine, théologienne et doctoresse en théologie morale. Elle a exercé l’enseignement à Rome et à Florence, et la pratique de la théologie politique qu’elle a expérimenté dans des communautés Aymara en Bolivie, fait qui lui a changé le sens de la vie en communauté et a fait de l’espagnol sa deuxième langue.