Le jeudi 17 mars, à 19.30h, l’ancien combattant étranger en Libye et auteur des « Lions de la Brigade de Tripoli », Sam Najjair, et la journaliste et écrivain Mayte Carrasco, présentent les deux titres publiés, par la Fondation Euro-Arabe, sur les conflits armés, la chronique de la lutte contre Kadhafi de Najjair et la publication collective sur « Conflits Armés, Genre et Communication » dirigé par la Secrétaire exécutive de la Fondation Euro-Arabe, Inmaculada Marrero Rocha.

Dans le cycle de lecture, pour la Paix organisé par la Fondation Euro-Arabe et l’Institut pour la Paix et les Conflits, le jeudi 17 mars à 19.30h, seront présentés à Grenade les deux derniers titres publiés par la Fondation Euro-Arabe, « Conflits Armés, Genre et Communication » édité par Tecnos et dirigé par Inmaculada Marrero Rocha, et « Lions de la Brigade de Tripoli. Chronique de la lutte contre Kadhafi », de Sam Najjair et édité par Catarata.

La présentation compte sur la présence, de l’ancien combattant irlandais dans le conflit en Libye, SAM NAJJAIR, de la Secrétaire exécutive de la Fondation Euro-Arabe, INMACULADA MARRERO ROCHA et de la Directrice de l’Institut pour la Paix et les Conflits de l’Université de Grenade, MARIA JOSE CANO.

Pour présenter cet événement et modérer le débat, se trouve la reporter de guerre et écrivain MAYTE CARRASCO. Reporter internationale qui a couverte, pour des médias nationaux et internationaux, la guerre civile en Libye, la révolution en Egypte, la guerre sale du Kremlin en Tchétchénie et Ingouchie, les enlèvements et le terrorisme de Al Qaeda dans le désert du Sahel, la guerre entre la Russie et la Géorgie ou le conflit de Afganistan. Carrasco, en plus de reporter elle exerce comme écrivain et professeure pour de prestigieuses écoles et universités, comme Sciences Po ( France ), le Master de l’UNESCO de Philosophie pour la Paix de Castellon ( UJI ), ainsi que la réalisation de cours à La Casa Encendida (Obra Social Caja Madrid), la Fondation Euro-Arabe, entre autres.

 

LES LIONS DE LA BRIGADE DE TRIPOLI.

Chronique de la lutte contre Kadhafi.

Un livre de Sam Najjair, publié en espagnol par l’éditorial Catarata et la Fondation Euro-Arabe

Fils d’une mère irlandaise et d’un père libanais, Housam «Sam» Najjair est né à Dublin. En juin 2011, en vue du dévasement de la nation de son père par la guerre civile, il décida d’abandonner l’Irlande pour se diriger vers la Libye -par la voie de la Tunisie- pour rejoindre le soulèvement contre Kadhafi.

Les lions de la brigade de Tripoli narre son voyage à partir de son arrivé au pays, où il passa douze semaines d’entraînement dans les montagnes avant d’aller à Tripoli.

Le 20 août, Sam et la bien connue brigade de Tripoli -une unité de l’armée de libération libyenne- ont été les premiers révolutionnaires qui sont entrés dans la ville et, par conséquent, ceux qui ont assurés la place des Martyrs. Des réunions avec des représentants de l’OTAN, trafic d’armes, opérations d’infiltration, la mort d’un bon ami ou la capture d’un ravisseur de femmes… Ce sont des moments qui appartiennent à l’impressionnante histoire d’un jeune révolutionnaire irlando-libyen qui devient commandant en chef de l’unité de l’armée révolutionnaire libyenne, un récit inoubliable de l’été qui a libéré un pays et a fait changer un jeune homme.

 

« Conflits Armés, Genre et Communication » publication de Tecnos et de la Fondation Euro-Arabe

Ce livre aborde les éléments qui donnent aux conflits armés d’aujourd’hui une complexité accrue et qui rendent plus difficile son analyse dans des termes scientifiques et du point de vue de la communication.

Cette publication s’attarde spécialement sur l’un des aspects les plus importants des nouveaux conflits ou nouvelles guerres, c’est le cas de la privatisation progressive des relations internationales conflictuelles qui se traduit en une augmentation de la souffrance humaine, surtout pour les collectifs les plus vulnérables comme est le cas des femmes.

Dans des situations de conflits armés et de violence structurelle, la persécution et la violence s’acharnent sur des femmes qui jouent un rôle essentiel comme communicatrices, capables de faire connaitre la barbarie et la souffrance dont sont victime leurs communautés, à partir de là elles se transforment en une menace, un danger ou simplement représentent un inconvénient pour les acteurs du conflit qui veulent maintenir leurs activités dans une situation d’impunité totale. 

Cette édition, dirigé par la professeure de Droit International Public de l’Université de Grenade et Secrétaire exécutive de la Fondation Euro-Arabe, Inmaculada Marrero Rocha,  dispose des articles de Jesús Núñez Villaverde, co-directeur de IECAH; la directrice de la publication elle-même, Inmaculada Marrero Rocha, le professeur de l’Université de Grenade, Mario López Martínez; les professeures de l’Université de Almeria, de la Pompeu Fabra et de l’Université de Malaga, Eva Díez Peralta, Caterina García Segura et Ana Jorge Alonso, respectivement; les activistes Bahira Abdulatif, de l’Iraq, Fabiola Calvo Ocampo et Caddy Adzuba Furaha de la République Démocratique du Congo et de la journaliste Lola Fernández Palenzuela.

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